Ce court métrage japonais aux animations psychédéliques vient interroger le rapport entre le son et l’image, en mettant en scène un fourmillement de rythmes, de formes et de couleurs à l’image d’un kaléidoscope.
En pleine nature, quelque part dans les contrées boréales, deux humanoïdes prennent part au cycle solaire.
Un film sur le combat interne, qui doit être recommencé encore et encore et qui n’est jamais vraiment gagné. Et pourtant le jeu en vaut la chandelle.
Un énorme marin reçoit une feuille d’automne d’une petite fille. Cela lui rappelle sa maison. Depuis combien de temps n’y est-il pas allé ? Il court à la rencontre de ses vieux parents. Qu’y trouvera-t-il ?
Être chauve ça craint. Savoir qu’on va le devenir, c’est pire.
Dans la nature, un couple c’est un mâle et une femelle. Enfin, pas toujours ! Un couple, c’est aussi une femelle et une femelle. Ou un mâle et un mâle. Vous l’ignoriez, peut-être, mais l’homosexualité n’est pas qu’une histoire d’humain.
Monsieur Gnome bronze tranquillement dans son jardin lorsqu’un petit nuage vient soudain lui cacher le soleil. Heureusement, Monsieur Gnome sait exactement comment faire, avec ce genre de nuage.
12 projections animées s’unissent pour développer un dialogue rythmé qui explore la relation intrinsèque entre le son et l’image par le biais d’une pellicule 16mm, de peinture et d’un projecteur.
Beyrouth, 1982. Nicolas s’apprête à quitter sa ville natale, rongée par une guerre civile sans fin. C’est alors qu’il croise la route de Naji, un adolescent bien décidé à aller à la piscine, malgré tous les dangers. Tentant de protéger le jeune homme, Nicolas se retrouve entraîné dans une course folle contre la guerre, pour la simple liberté d’aller nager.
