Houle est un film haptique et musical sur une rencontre amoureuse.
Dans une petite salle de bain, un groupe d’amies se prépare avec effervescence pour une soirée d’été. Entre les discussions sur les garçons et le maquillage, Mercedes navigue dans son attirance naissante pour son amie Julia.
Deux peintures qui se répondent, ou la représentation d’une femme de couleur au XIXe et au XXe siècle.
Olympia (1863) de Edouard Manet est une peinture où l’on voit une demi-mondaine nue fixant le spectateur avec assurance, et derrière elle une servante noire qui tient un bouquet de fleurs, sans doute offert par un admirateur.
En référence à Olympia, Félix Vallotton a peint La Blanche et la Noire (1913) qui montre une jeune femme blanche nue, et à côté d’elle une femme noire habillée, probablement sa partenaire, qui fume une cigarette.
13 ans, un âge à la croisée des chemins entre l’enfance qui s’évapore et la vie d’adulte qui débute. Perturbée, malmenée ou encore brouillée, l’adolescence est une période où les repères sont parfois difficiles à trouver.
« J’ai recueilli le témoignage d’une jeune adulte de 23 ans qui se remémore cette période parfois ingrate et confuse. L’adolescence laisse des marques indélébiles en nous, des blessures cachées qui ressurgissent parfois sans crier gare. »
La vie se découpe avec 4 chiens. Il se trouve que le premier meurt quand vous êtes en vacances. Le deuxième meurt seul. Le troisième séjournera souvent chez le vétérinaire. Avec le quatrième, vous vieillissez ensemble.
Louis II de Bavière est pétrifié dans la glace depuis la nuit des temps. On le retrouve dans une forêt, par chance il est vivant ! Trois sœurs sorcières tentent de le décongeler et de percer son mystère musical. Nous sommes propulsés avec eux dans un conte de fée coloré et surréaliste.
Un éleveur et sa mère évoquent l’arrivée d’un étrange animal parmi leur troupeau de vaches limousines.
Un enfant confronté à un problème de maths et à ses propres problèmes de concentration, et une mère perdant lentement mais sûrement patience.
Ce court métrage japonais aux animations psychédéliques vient interroger le rapport entre le son et l’image, en mettant en scène un fourmillement de rythmes, de formes et de couleurs à l’image d’un kaléidoscope.
En pleine nature, quelque part dans les contrées boréales, deux humanoïdes prennent part au cycle solaire.